Avec ou sans expériences, le voyage en bateau en travaillant requiert plus d’audace que d’expériences professionnelles. Travailler dans des bateaux exige l’honnêteté absolue, la sincérité, la débrouillardise, la confiance en soi… Voilà les clés de la réussite si on veut visiter les Caraïbes ou les îles Fidji ou autre destination de rêve à bord d’un voilier ou en bateau.
On recherche des gens qui sont bien dans leur tête. Avec ou sans expériences, l’apprentissage sur le tas est de mise à bord. On apprend au fil des jours et des nuits passés sur le bateau. Pour prendre la barre du bateau, les équipiers et le capitaine font obligatoirement un relai. Un maximum de maitrise de soi devant le changement brusque de cap, les fortes tempêtes, les attaques des pirates …. Le ménage, la cuisine font partie intégrante des tâches à accomplir pendant tout le voyage. Savoir gérer l’émotion pour ceux qui se sentent seuls au beau milieu de l’océan.
Etre sur un petit voilier, la rémunération est facultatif pour le capitaine. Les matelots, dans la plupart des cas ne perçoivent aucun salaire mais partagent les frais du voyage avec le capitaine. Par contre, les navires luxueux offrent des emplois stables avec un contrat d’un an. Les salaires dans ces navires varient en fonction d’un poste à un autre. Que ce soit matelot, hôtesse, cuisinier, assistant-capitaine ou capitaine.
La règle des 4 F détermine les facteurs qui pourraient entrainer le mal de mer. La frousse, le froid, la faim et la fatigue. Dormir avec un sommeil profond enlève la fatigue, bien manger sans excitant repousse la faim, bien habillé et au chaud écarte le froid et un voyage bien préparé à l’avance évite la peur. Il y a des traitements préventifs face à tout cela.