La première chose à faire avant de prévoir le transport de votre chien en avion, c’est de se renseigner. Dans cette étape, vous allez demander si la compagnie aérienne accepte le transport de chien dans ses avions. Il faut aussi s’informer sur le moyen de transport, dans le cas où votre chien peut voyager en avion avec la compagnie. Mais il faut savoir que seuls les chiens de moins de 4 kg ont le droit de voyager en cabine. Au-delà de ce poids, il doit aller en soute. Ensuite, informez-vous sur le prix du transport de votre chien. Normalement, le tarif n’est pas le même si le chien va en soute, ou s’il peut voyager en cabine. Concernant le transport proprement dit, prévoyez l’achat d’une caisse spéciale pour le chien qui va voyager en soute. Un sac suffira si vous emmenez votre chien en cabine. Dans les deux cas, il sera nécessaire de bien dresser votre chien. S’il est en sac et en cabine, il ne doit pas bouger de son contenant et déranger les autres passagers. S’il est en soute, il doit bien se tenir, être en confort et ne pas se sentir séquestrer. Vous devez aussi demander comment s’occuper de votre chien durant tout le trajet. Il se peut qu’il doive se nourrir, boire, et même qu’on nettoie sa caisse ou le sac, parce qu’il a déféqué.
La plupart du temps, les compagnies qui survolent la zone euro accepte qu’on transporte des chiens dans les avions. Toutefois, ces derniers doivent être vaccinés et avoir une puce électronique d’identification. Il faut aussi se renseigner, car même si les chiens sont acceptés, il existe des compagnies aériennes qui refusent certaines races agressives, même en soute. Ils sont généralement, transportés en fret. Si ce dernier est très nerveux, il sera même demandé au maitre de lui donner un calmant, sous prescription d’un vétérinaire. Et enfin, il est recommandé d’enregistrer votre chien à une assurance voyage. Cela peut couvrir les cas d’attaques, de fuites ou même de décès de l’animal.
]]>Les seniors et les étudiants actifs sont la plupart du temps les clients fidèles à la colocation. Les étudiants plus particulièrement, trouvent plus de liberté en révisant ensemble les acquis à l’université. Les professionnels actifs en profitent pour finir à temps les services demandés. Une association « Un toit partagé » est rentable pour tous, à savoir les investisseurs, les étudiants et le propriétaire. Les cinquantenaires qui souhaitent vivre loin de la solitude et de l’esseulement sont la plupart du temps en quête de colocation à un prix modéré. Ces personnes actives représentent 52% des colocations partout. De nos jours, un appartement pour 3 personnes se loue à 900 euros/mois, tandis qu’en colocation, il se loue à 1300 euros/mois.
Des aménagements spécifiques sont les exigences pour le logement, une cuisine s’ouvrant sur le couloir, des chambres contenant des salles d’eau individuelle à chaque chambre. Au total, le nombre des colocataires doit être égal au nombre des chambres du logement. Par exemple pour un studio, le prix du loyer mensuel s’élève autour de 600 euros par mois, il est donc plus facile de réunir quatre colocataires qui partagent les 400 euros par mois. Une loi Alur prévoit l’application stricte des normes de peuplement pour la colocation, à savoir une chambre de 9m2 pour une personne, 16m2 pour 2 personnes et 9m2 par personne supplémentaire. Pour le cas du bail, il est recommandé de signer un bail par colocataire.
]]>Selon la loi de location en vigueur pour un logement vide, la durée dans le contrat de bail est de 3 ans. Une durée obligatoire qui peut parfois être réduit pour des cas exceptionnels liés au travail ou encore pour des raisons familiales. Cette loi est uniquement valable que si le logement concerné est la résidence principale du propriétaire. Dans le cas contraire, la durée de location est fixée en accord entre les deux parties.
Lorsqu’il s’agit d’une location d’un logement meublé, la durée minimale du contrat de bail est de 1 an s’il s’agit du logement principal du propriétaire. La location de courte durée est seulement possible si le locataire est un étudiant. Dans ce cas, la durée minimale est de 9 mois.
Le locataire doit donner congé à son propriétaire lorsqu’il décide de mettre fin à son contrat de bail. Ce congé doit respecter certaines normes : une période plus ou moins longue dite « préavis ». Le locataire peut donner congé à tout moment dans le cas où le logement loué constitue le logement permanent du propriétaire, dans le cas contraire, le délai de préavis doit toujours être mentionné dans le contrat.
Les charges locatives sont des dépenses relatives à un logement donné en location. Ce sont les charges payées par le propriétaire paie et qui doivent être remboursées par le locataire. Dans le cas d’une colocation, les réparations sont prises en charges par le syndic. En revanche, le locataire est responsable des éventuelles réparations du logement et le propriétaire doit supporter les réparations importantes.
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